Si vous arrivez sur cette page, c’est que sans doute vous faites partie des nombreuses personnes confrontées à cette épreuve. L’objet de cet article est de proposer des pratiques d’apaisement.
Il y aurait environ une femme sur deux en France qui auraient avorté, et donc aussi, un homme sur deux qui a également avorté. Même si cela surprend, ne pas reconnaître aussi la souffrance de l’homme reste une erreur.
L’objet du thérapeute n’est pas de juger une situation déroulée et qui fait désormais partie du passé. Son objet est d’apporter une offre de réconfort et de soins face aux souffrances. Les méthodes de thérapie sont nombreuses. Ici l’offre de réconfort s’appuie sur la connaissance des mondes subtils. Bien des gens perçoivent à leur manière le monde derrière le monde. Arrêtons-nous un instant sur quelques idées bien connues, mais qui éclaireront la question de l’avortement.
Quatre propositions :
– L’enfant n’appartient pas aux parents. On peut revendiquer qu’une chose nous appartienne, mais pas un Être.
– Un bébé qui naît est d’abord une âme qui entre en incarnation. Une conscience qui sur d’autres plans décide de prendre corps.
– Il y a sur les plans subtils un accord entre les trois parties : le futur enfant, la mère et le père. Un accord qui valide la venue de l’âme dans le futur corps de l’enfant hébergé dans le ventre de la future mère.
– Ce qui se déroule sur les plans subtils reste le plus souvent caché du plan physique où se manifestent les personnalités. Aujourd’hui, bien des gens ressentent une autre trame de vie derrière cette vie.
Ces quatre propositions seront acceptées ou refusées. Mais pour celui qui contacte les mondes subtils, cela relève de l’expérience. Au début de ma quête, j’ai fait confiance à certains enseignements et les preuves sont venues ensuite. Au fil du temps, le rideau protecteur a perdu de son opacité. Vous verrez que ce positionnement n’entrave pas l’auto soin proposé par la suite. Cela place le cadre qui peut se représenter sous forme de ce diagramme :
Dans cet accord passé à trois, chacun peut rompre ce « contrat » à sa manière. Nous allons considérer cinq cas séparément avec sa pratique. Ces pratiques visent à se mettre en paix avec l’avortement. Peu importe le point de vue sur cette délicate question, une pratique d’apaisement est souhaitable. Elle offre au trio un moment solennel où les émotions se dénouent et les culpabilisations se désamorcent.
Cliquez sur le cas d’intérêt pour vous
→ Décision du couple d’avorter
→ Décision de la mère d’avorter sans l’accord du père
→ La mère avorte sous la pression de son conjoint ou de sa famille
→ Avortement par décision médicale avec accord des parents
Bonne pratique… Mon souhait est que vous avanciez d’un pas plus léger…
aurimetrie.info – 5 décembre 2018